L’histoire d’un joueur devenu partenaire
Le club des partenaires

L’histoire d’un joueur devenu partenaire

C’est rue du 13e de Ligne à Nevers que nous conduit cette fois-ci notre balade à la rencontre de nos partenaires. Éric Timon, indéfectible supporter de l’USON Handball, nous ouvre la porte de son magasin.

Salut Éric, c’est une Grosfillex ta porte d’entrée ?

Bien-sûr voyons ! Je ne vais quand même pas poser la porte d’un concurrent (rire).
Il n’y a rien de mieux que de présenter nos produits à nos clients. Nous sommes dans le domaine de la fermeture : de la porte d’entrée aux fenêtres, les portails, sans oublier les portes de garage.

Ne te vexe pas Éric mais j’ai l’impression qu’il y a pas mal de concurrence dans ce domaine ?

Oui de la concurrence il y en a, mais chez Grosfillex nous faisons du « vrai » made in France. Nous ne nous contentons pas d’assembler des profilés achetés à l’autre bout du monde. Nos PVC, par exemple, sont injectés dans nos usines dans le Jura, la "plastics vallée" comme on dit là-bas. Nous avons la maîtrise de notre produit de A à Z et nous vendons ce savoir-faire à nos clients.
Et ça marche ! Notre agence couvre la Nièvre entière et nous sommes dans les deux premières places au niveau national depuis trois ou quatre ans.

C’est quoi le secret de cette réussite ?

Je ne sais pas s’il y a un secret mais nous sommes implantés à Nevers depuis 25 ans, les gens nous connaissent, il y a très peu de rotation au sein de notre personnel, à commencer par notre équipe commerciale, cela inspire confiance, outre la qualité de nos produits.

Il faut avoir quel profil, sans faire de mauvais jeu de mot, pour être le patron d’une entreprise comme la tienne ?

Il faut avant tout être menuisier à la base pour savoir de quoi l’on parle. C’est mon cas je suis menuisier-ébéniste de formation et j’ai un temps regretté de ne pas avoir poursuivi ma carrière dans le travail du bois. La vie m’a donné l’opportunité d’évoluer dans le domaine de la menuiserie alu et PVC ; je ne regrette rien aujourd’hui.

Tu as failli aussi être joueur professionnel de handball à Ivry ?

Ne te moque pas de moi… Oui j’ai joué à Ivry quand j’habitais dans la région parisienne mais en moins de 18 ans et en pur amateur. J’allais voir les pros le samedi soir, j’aimais bien, c’était sympa. J’ai joué pendant 6 ans quand même.

Ce n’est donc pas un hasard si tu ne loupes pas un match de la N2 à la Maison des Sports ?

Oui, pas un match, certains ne peuvent pas venir à chaque fois car ils ont des invitations chez des amis mais moi je les emmène au match c’est plus simple ! À l’invitation des dirigeants j’ai même fait un déplacement à Annecy il y a deux ans. On avait perdu mais... il y a de bons restos là-bas !

Qu’est-ce qui a changé dans le handball dans les 30 dernières années toi qui connais ce sport depuis sa montée en puissance ?

Les règles ont évolué, on veut maintenant des buts à tout prix, trop sans doute. Il y aussi plus de vitesse et d’impact. Ce n’est pas comparable.

Tu as peut-être un vœu pour notre équipe N2 la saison prochaine ?

Pas que pour la N2 puisqu’il m’arrive aussi d’aller soutenir la réserve. Je souhaite que nos trois équipes garçons se maintiennent et que les filles continuent leur progression.
Ah si, un autre petit souhait pour l’équipe première. On veut voir plus de buts aux ailes…

On transmettra à Sassi… Merci encore Éric pour ton soutien, bonnes vacances et à très bientôt à la Maison des Sports.